Clôturer les parcs et les paddocks, c’est tout d’abord assurer la sécurité des chevaux qui y seront hébergés. C’est aussi prévenir toute divagation dont le gardien sera tenu pour responsable. C’est enfin assurer une surveillance régulière des clôtures et effectuer les réparations nécessaires en cas de besoin, plus la clôture sera fiable et qualitative moins cela prendra de temps. Mais clôturer les parcs, c’est aussi créer un environnement esthétique, agréable et convivial pour soi, mais aussi pour les propriétaires des chevaux ou les cavaliers du club. C’est présenter un cadre sympathique dans lequel les passionnés prendront plaisir à venir se retrouver pour partager leur passion et leur amour des chevaux.

Toute la gamme

Clôture Bois

Clôture Australienne

Clôture Hors’Braid

Clôture Ruban

Portail

Piquet et demi-rondin

Livre blanc

Guide pratique de la clôture

Tout ce qu'il faut savoir pour bien choisir et poser sa clôture

Obtenez le livre blanc de la clôture équestre

Guides

Comment poser une clôture bois ?

La pose de clôture bois est un chantier assez simple pour quelqu'un d'assez manuel

En savoir plus

Quelle clôture pour mes chevaux ?

Le profil de la clôture est tout d’abord choisi en fonction des chevaux qui vont occuper les enclos

En savoir plus

Quel usage pour la clôture permanente ?

La clôture permanente est une alternative à la lice bois pour une clôture installée à demeure.

En savoir plus
configurer mon projet

Vous avez un projet ?

Chiffrer mon projet

FAQ

Clôtures

La clôture bois apporte à la fois esthétique et sécurité en représentant une clôture physique. Le cheval sait naturellement qu’il n’est pas en mesure de la traverser et d’autre part, il ne risque en aucun cas d’y rester coincé. Ce sont ses avantages en termes de sécurité. On l’utilise donc les clôtures bois pour les chevaux de valeur (financière ou sentimentale) ainsi que pour les parcs dont on veut garantir l’esthétique. Une large gamme de clôtures bois existe.

La clôture électrique est plus facile et plus rapide à mettre en œuvre notamment pour la clôture temporaire, elle est également plus économique. Pour être efficace, elle nécessite un apprentissage de la part du cheval sans oublier une mise en oeuvre optimum. Sa durée de vie est généralement inférieure à celle d’une bonne clôture bois. On utilise couramment la clôture électrique aux grandes pâtures dans un environnement peu dangereux.

Enfin, les deux solutions combinées sont idéales. Le bois est à l’abri des chevaux qui ne risquent pas de dégrader la clôture en s’y frottant ou en la rongeant.

La hauteur de la clôture dépend surtout de la nervosité des chevaux qui seront gardés dans le parc. Pour une pâture destinée à des chevaux calmes, un rang à 1 m30 et un rang inférieur à mi-hauteur sont la solution la plus fréquente.

Pour des chevaux plus nerveux, on pourra monter un rang avec électrification à hauteur du nez pour prévenir les tentatives de saut de clôture.

Pour les petits poneys, c’est le rang du bas qu’il faut soigner. Pour un shetland d’1 m au garrot, un rang inférieur placé à environ 60 cm et bien électrifié donne satisfaction. Il demandera un entretien un peu plus régulier avec notamment le fauchage de la végétation qui viendrait à touche les fils et provoquer une baisse de performance de la clôture électrique.

La durée de vie d’une clôture est limitée généralement par 2 facteurs :

  • La durée de vie des poteaux
  • La durée de vie des conducteurs

Le plus fragile ce sont les rubans. Même correctement installés les modèles d’entrée de gamme durent rarement plus de 5 ans et 10 ans pour les plus solides. Ce sont les fils conducteurs qu’ils contiennent qui cèdent les premiers. Les cordons ont moins de prise au vent et durent donc plus longtemps. Selon les conditions, compter 10 ans pour les modèles les plus sensibles aux UV et plus de 20 ans pour les modèles haut de gamme.

Les fils lisses en aluminium durent généralement entre 15 et 20 ans.

L’efficacité d’un conducteur électrique dépend de sa nature et de son diamètre. Les rubans et cordons de clôtures électriques d’entrée de gamme ont des conducteurs acier, les clôtures haut de gamme ont des conducteurs cuivre.

L’aluminium est utilisé seulement en fil lisse, il est 30 fois plus conducteur que l’acier. On n’utilise jamais de fil lisse en acier galvanisé pour les chevaux, car il est trop résistant en cas d’incident et ne casserait pas. Évidemment on n’utilise pas de barbelé, il est d’ailleurs interdit de l’électrifier pour des raisons évidentes de sécurité.

Toujours privilégier un électrificateur sur secteur quitte à enterrer plusieurs dizaines de mètres de câble haute tension pour rejoindre la clôture du parc à électrifier. En effet un poste sur secteur permet de délivrer plus de puissance qu’un poste autonome, de plus il évite les manipulations de pile et de batterie ainsi que le risque de panne.

La puissance du poste devra augmenter avec la longueur de clôture et le niveau de pertes (dues au contact avec la végétation).

En technologie basse impédance (la plus répandue) pour moins de 5 ha, on peut généralement se contenter de poste délivrant 2 joules; jusqu’à 10 ha  4 joules conviennent le plus souvent; au-delà on passera sur des postes de 6 joules d’énergie délivrée. Les constructeurs améliorent aujourd’hui largement les postes avec de l’intelligence embarquée qui améliore les performances et la sécurité des clôtures.

Pour les postes autonomes, l’énergie délivrée sera également en correspondance avec les longueurs de clôture à électrifier. On garde à l’esprit que plus le poste est puissant, plus il consomme de batterie et plus il faut la recharger souvent. Pour limiter le phénomène, l’ajout d’un panneau solaire est envisageable.

Pour les clôtures, bois, cela dépend évidemment de la longueur des lices (2.5 ou 3 m). On recommande alors de se laisser 5 cm de marge de sécurité quitte à recouper légèrement les lices au moment de la pose.

Pour les clôtures électriques, cela dépend directement de la prise au vent des conducteurs. En zone ventée avec du ruban de 4 cm on ne va pas au-delà de 3 m entre poteaux. Avec un ruban 2 cm on peut écarter à peine plus les poteaux. Avec les cordons, on pourra aller jusqu’à 5 m. Enfin avec des clôtures permanentes tendues comme le concept australien, Hot cote ou une clôture Hors’braid, on peut en conditions favorables (vent modéré et terrain plat) aller jusqu’à 10 m d’écartement entre piquets. C’est un facteur d’économie importante sur un projet de clôture.

C’est le bois traité pour un emploi en classe IV. Il peut l’être naturellement comme le châtaignier ou le robinier (faux acacia) ou suite à un traitement comme le pin sylvestre. Attention cependant, Classe IV ne définit que l’emploi auquel est destiné le bois et ne représente aucunement une garantie de longévité. Seule une certification indépendante des produits et procédés de traitement avec contrôle d’échantillons vous apporte une garantie sérieuse.

Cela dépend de la longueur à installer,  de votre niveau d’équipement, de votre technicité et de celle de la clôture, de la nature du terrain et du temps dont vous disposez.

Le point difficile est toujours celui du plantage des piquets. Il nécessite de disposer du matériel adéquat et d’une méthode éprouvée pour travailler efficacement en sécurité. La pose des lices et des conducteurs est relativement simple et ne demande qu’un peu de rigueur.

Il faut garder à l’esprit qu’une équipe professionnelle expérimentée vous apportera une vitesse de chantier et un niveau de finition impossibles à atteindre par un particulier même bon bricoleur.

Le coût d’installation d’une clôture bois 2 rangs par une entreprise varie autour d’environ 10 € /ml.

Tous les chevaux craignent la clôture électrique. Les plus poilus comme les poneys et ceux qui ne sont pas ferrés sont juste mieux isolés. Il faut donc améliorer la qualité de la clôture. On améliorera les points suivants dans l’ordre :

  • Prise de terre (en métal non sensible à la rouille, longueur 1 m à multiplier par 2 ou 3 sur terrain difficile ou avec une grande longueur de clôture)
  • Vérifier les pertes sur la ligne (contacts avec la végétation, nœud entre conducteurs, isolateur cassé, etc.)
  • Vérifier la qualité et l’intégrité des conducteurs
  • Contrôle la puissance délivrée par l’électrificateur

La clôture électrique est un concept dont l’efficacité globale peut être limitée . On vérifiera donc les points suivants dans cet ordre :

  • Prise de terre (en métal non sensible à la rouille, longueur 1 m à multiplier par 2 ou 3 sur terrain difficile ou avec une grande longueur de clôture et placée dans une terre humide, idéalement à l’ombre proche d’une descente de gouttière). C’est le maillon faible de la majorité des clôtures.
  • Contrôler la tension sur la clôture en différents points et vérifier l’origine des pertes sur les lignes (nœud entre conducteurs, contacts avec la végétation, isolateur cassé, etc.). Une tension inférieure à 2000 V ne permet pas de garder sereinement les chevaux. Il faudra 6000 V pour garder les poneys les moins sensibles.
  • Vérifier la qualité et l’intégrité des conducteurs. Des conducteurs bas de gamme (acier, petite section, peu nombreux et oxydés voire cassés) ne permettront jamais de conduire le courant convenablement.
  • Contrôle la puissance délivrée par l’électrificateur. Un électrificateur sous-dimensionné au regard des pertes et des distances devra être remplacé. En pratique, c’est très rarement lui le facteur limitant de l’efficacité de la clôture.

Les portails doivent pouvoir être verrouillés pour prévenir les actes de malveillances, il est fortement conseillé de choisir un portail bois esthétique ou un portail galva robuste et plus économique.

Pour simplement fermer les parcs, les portails physiques sont plus faciles à manipuler. Les fermetures de parcs en conducteurs électriques avec poignées sont à réserver à de faibles utilisations, car elles sont très peu pratiques. Pour les utilisations plus intenses, on choisira un portail (bois ou galva) ou un système Hors’gate plus simple, plus économique, mais rapide et pratique à manipuler.

Cela dépend de la taille des chevaux et de leur tempérament. Les plus grands chevaux ne sont pas forcément les plus difficiles à garder. Les petits poneys sont souvent plus habiles pour s’échapper par un trou de souris. On recommande au minimum 2 rangs pour garder la plupart des chevaux. Pour des parcs ou paddocks de mandant plus de sécurité comme des bords de route ou des paddocks d’étalons ou de chevaux fougueux, on pourra monter à 3 voir 4 rangs de clôture.

Cela dépend de la taille des chevaux et de leur tempérament. Les plus grands chevaux ne sont pas forcément les plus difficiles à garder. Les petits poneys sont souvent plus habiles pour s’échapper par un trou de souris. On recommande au minimum 2 rangs pour garder la plupart des chevaux. Pour des parcs ou paddocks demandant plus de sécurité comme ceux situés à proximité des bords de route, les paddocks d’étalons ou de chevaux fougueux, on pourra monter à 3 voir 4 rangs de clôture.

Réalisations


Faites chiffrer votre projet


Veuillez remplir le formulaire ci-dessous pour recevoir une offre personnalisée (*champs obligatoires) :