La pratique montre que non. D’une part, les chevaux sont bien dans leur tête et sont donc bien plus enclins à interagir avec l’homme. D’autre part, les chevaux demeurent curieux et très proches de l’homme. Enfin, la relation n’est plus biaisée par l’assimilation à la nourriture. Cela permet de rentrer dans un autre type de relation au cheval.