Le purificateur de foin Haygain est la seule réponse sérieuse et performante pour traiter les causes et prévenir l’apparition de l’immense majorité des pathologies respiratoires. Ces dernières touchent de très nombreux chevaux alimentés avec du foin et/ ou sur litière non dépoussiérée ; particulièrement ceux qui sont hébergés en intérieur.

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Une purification du foin efficace et pratique

Les purificateurs de foin Haygain sont l’aboutissement de travaux de recherche conjoints entre vétérinaires et écurie professionnelles de façon à obtenir un foin parfaitement purifié à la vapeur et à pouvoir inscrire cette purification du foin dans le cadre pratique des écuries avec une utilisation quotidienne sans bouleverser sensiblement les habitudes de travail et le mode de fonctionnement normal de l’écurie. En effet, il était inconcevable de proposer une solution qui ne garantisse pas un foin parfaitement sain ou un équipement impossible ou trop contraignant à mettre en œuvre à l’écurie. C’est pourquoi la gamme Haygain est constituée de purificateurs de foin de différentes capacités qui s’adaptent au nombre de chevaux à alimenter en foin purifié. Cela commence avec un purificateur pour un cheval et va jusqu’à un purificateur grand volume capable d’enchainer les tournées pour une écurie professionnelle.

L’emphysème, une pathologie respiratoire fréquente

Malheureusement, les pathologies respiratoires sont des affections à la fois courantes et très invalidantes à la fois pour les chevaux athlètes dont elles limitent les performances voir même compromettent définitivement la carrière, mais aussi pour le cheval à l’entretien, la poulinière ou l’étalon reproducteur, car la maladie rend la respiration de plus en plus pénible et génère toux et réactions inflammatoires des voies digestives au moindre effort.

Comme ce sont essentiellement les agents pathogènes contenus dans le foin qui sont la cause de ces pathologies, la solution qui s’attaque à la cause est bien de purifier le foin.

Malheureusement, l’emphysème est une pathologie de type allergique qui s’installe dans le temps de façon très insidieuse. Le cheval respire toute sa vie les poussières et spores contenues naturellement dans le fourrage et la maladie s’installe petit à petit. Lorsque les premiers symptômes apparaissent, il est malheureusement trop tard et il faudra « gérer la pathologie » pour le reste de la vie du cheval.

Il est important de traiter l’ensemble des pathogènes pour garantir la qualité sanitaire du fourrage. On distinguera les poussières volatiles, des champignons avec leurs spores et enfin des bactéries contenues dans le foin.

Secouer, mouiller ou tremper le foin ; rien ne vaut la purification à la vapeur.

Dans les bonnes écuries, on apprend traditionnellement qu’il faut secouer le foin avant de le distribuer ou encore qu’il faut rincer le foin pour réduire la quantité de poussière inhalée par le cheval. Malheureusement, cela n’est d’une part pas suffisant, mais cela peut également avoir des effets délétères. En effet, secouer le foin équivaut à mettre en suspension toutes les poussières et les pathogènes compris dans le foin. À ne pratiquer qu’en extérieur en conditions venteuses et surtout pas dans le box du cheval. Il est évident que cette méthode ne permet de retirer qu’un faible pourcentage des microbes.

Mouiller le foin permet de « coller les poussières qui migreront moins vers les voies respiratoires. Cependant, cela a de nombreux travers : une consommation d’eau excessive, une baisse très significative de la valeur nutritive du fourrage surtout si on laisse tremper le foin (c’est le principe de l’infusion, sauf qu’ici, on jette la boisson pour e donner que le sachet usagé au cheval…), la production de jus très polluants et la manutention pénible et salissante du foin mouillé.

Seule la purification vapeur depuis l’intérieur du foin vous garantit un fourrage parfaitement sain, une manutention facile, car le foin n’est pas plein d’eau, et une excellente appétence du fourrage. Les chevaux l’apprécient de façon très significative. La consommation d’eau est particulièrement réduite (8L contre 50 à 100 L en trempage) et une manipulation environnementalement neutre.

Nourrir avec un foin de bonne qualité sanitaire

Lorsqu’il faut nourrir un cheval allergique ou atteint d’une pathologie respiratoire, la qualité sanitaire du fourrage est une priorité absolue. De même, la prévention de ce type de pathologie passe par la consommation quotidienne d’un fourrage sain.

On imagine, à tort que le trempage du foin, le fait de le rincer ou de le mouiller suffit, mais la réalité est plus complexe. En effet, pour détruire les champignons, spores et bactéries naturellement contenues dans les fourrages, y compris ceux communément admis comme bons, voire excellents, il faut les traiter à haute température (100 °C).

Nombre de personnes l’ont maintenant compris et on voit apparaitre des tutos sur la fabrication de purificateurs de foin maison. Relativement simples à réaliser par un bon bricoleur, ils présentent de nombreux risques dont le principal est un traitement incomplet du foin, car la vapeur est libérée sous le fourrage et le contourne sans passer au milieu de celui-ci. C’est l’objet des brevets déposés du purificateur Haygain qui distribue la vapeur depuis l’intérieur du fourrage vers la périphérie, assurant un traitement de l’intégralité du foin. On peut aisément en constater l’efficacité lorsque l’on sort le foin fraichement passé au purificateur vapeur. Les autres risques des appareils faits maison est la qualité des plastiques et colles utilisées qui ne sont pas conçus pour résister à des montées en températures plusieurs fois pas jours et qui risquent de se décomposer dans le foin. Enfin la consommation de bacs non isolés sera très excessive et l’utilisation de vapeur haute génère des risques qu’un employeur ne saurait faire courir à son personnel.

Pour comprendre l’enjeu majeur de la qualité sanitaire du fourrage, il faut enfin bien comprendre que mouiller le foin contribue à créer un environnement propice au développement des bactéries jusqu’ici impossible du fait de l’absence d’eau (c’est le principe même de la fenaison qui permet une conservation de l’herbe par la voie sèche). Mouiller le foin sans montée en température permet donc seulement de coller la poussière que le cheval respire, mais augmente significativement le risque pathologique du fait du développement bactérien qu’il génère.

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